Premières Lignes #38

Premières lignes

C’est un nouveau rendez-vous sur le blog le dimanche. C’est un principe me plait bien. Et je sais que c’est quelque chose que je vais continuer. Souvent dès les premières lignes on sait si on va être dans l’histoire ou non. La semaine dernière il n’y a pas eu de Premières Lignes suite à ma panne de lecture, je n’avais pas commencer de romans. Retrouvez celui de la semaine dernière ici.

Premières lignes c’est quoi?

Premières lignes est un rendez-vous initié par Ma lecturothèque. Et le principe est simple, tous les dimanches, je vais vous citez les premières lignes d’un ouvrage. J’aime beaucoup le principe de donner les Premières Lignes d’un roman. Pour se donner une idée du roman qu’on va lire.

Pour ce trente huitième rendez-vous de Premières Lignes je vous présente le roman que je vais commencer en fin de journée une fois Internationnal Guy San Francisco fini. Je vais me plonger dans l’aile des vierges de Laurence Peyrin sorti chez Calmann-Lévy.

Angleterre, avril 1946. La jeune femme qui remonte l’allée de Sheperd House, majestueux manoir du Kent, a le coeur lourd. Car aujourd’hui, Maggie Fuller, jeune veuve au fort caractère, petite-fille d’une féministe, entre au service des très riches Lyon-Thorpe. Elle qui rêvait de partir en Amérique et de devenir médecin va s’installer dans une chambre de bonne.
Intégrer la petite armée de domestiques semblant vivre encore au siècle précédent n’est pas chose aisée pour cette jeune femme cultivée et émancipée. Mais Maggie va bientôt découvrir qu’elle n’est pas seule à se sentir prise au piège à Sheperd House et que, contre toute attente, son douloureux échec sera le début d’un long chemin passionnel vers la liberté.

Premières Lignes

« Si la vie avait obéi à une logique, Maggie Fuller aurait été médecin à Folkestone, figure d’autorité établie dans une maison en brique et silex du front de mer, notoirement qualifiée pour soulager les lumbagos des manutentionnaires du port, prévenir le scorbut des matelots au long cours et traiter leurs maladies vénériennes. La grand-mère de Maggie, Augusta O’Neil, avait été infirmière et membre de l’Union Sociale et politique des femmes. Interpellée avec ses amies suffragettes pour avoir perturbé une réunion du Parti Libéral en 1905, elle avait choisi la prison plutôt que de s’acquitter d’une amende. « 

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